Il nous avait livré le récit de son aventure, lorsqu'en juin 1944 il était monté au maquis après le débarquement allié sur les côtes normandes. Je l'avais publié dans Terres ardennaises puis sur ce blog. Son fils m'a appris son décès par courrier éléctronique il y a peu (mon ordinateur m'ayant laché, je n'ai pu lui répondre, qu'il veuille bien m'en excuser s'il lit ces lignes)...
L'Ardennais s'est fait l'écho du décès d'André Hubert qui, précise son fils, avait toujours été "critique vis-à-vis de l'organisation du maquis. Il trouvait certaines dispositions incohérentes, il contestait la manière dont avait été gérée la résistance. Comme le général de Bolladière avait une certaine aura, on ne pouvait émettre de critiques".
Quel meilleur hommage d'adieu peut-on lui rendre qu'en lisant, ou en relisant, le récit de sa résistance ?