1 février 2008
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Les ouvrages sont cités dans l'ordre chronologique de leur publication. Le choix des limites chronologiques est assez arbitraire, l'année 2000 a le mérite de trancher une période et de marquer une rupture chronologique nette. De toutes façons, les publications sur cette période, dans notre petit département, ne sont pas légions et n'encombrent pas les fonds de bibliothèque, le choix d'une date de rupture est donc purement formel.
Avec le livre de Paul Lotterie sur Marceau Devie, parurent à la fin des années 80, deux autres ouvrages consacrés à la Seconde guerre mondiale dans le département, envisagée là encore sur le plan local.
Première étude locale sur l'occupation allemande et la Résistance, axée sur le Vouzinois, avec de nombreux témoignages.
Jean-Paul Cordier, membre de la Société des Écrivains Ardennais, n'était pas historien, mais il fit oeuvre de mémorialiste de l'Occupation à Monthermé et dans la vallée de la Meuse, des combats du printemps 1940 à la libération. L'essentiel de l'ouvrage est consacré à la Résistance, notamment celle des FTP, si présents autour de Château-Regnault, mais aussi à l'impact, dans la vallée, du massacre des Manises en juin 1944.
Avec le livre de Paul Lotterie sur Marceau Devie, parurent à la fin des années 80, deux autres ouvrages consacrés à la Seconde guerre mondiale dans le département, envisagée là encore sur le plan local.

DEROCHE (G.) et MACHINET (S.), Vouziers 1940-1944, pages d'histoire pour le 40e anniversaire de la Libération, Édition ville de Vouziers, 1984
Première étude locale sur l'occupation allemande et la Résistance, axée sur le Vouzinois, avec de nombreux témoignages.

CORDIER (J.P.), Combat en Ardenne, SOPAIC, Charleville-Mézières, 1986
Jean-Paul Cordier, membre de la Société des Écrivains Ardennais, n'était pas historien, mais il fit oeuvre de mémorialiste de l'Occupation à Monthermé et dans la vallée de la Meuse, des combats du printemps 1940 à la libération. L'essentiel de l'ouvrage est consacré à la Résistance, notamment celle des FTP, si présents autour de Château-Regnault, mais aussi à l'impact, dans la vallée, du massacre des Manises en juin 1944.